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Économie postindustrielle: adieu enregistrements et impôts!
Світ:
Спецтема:
Plus l’économie industrielle devient absurde, plus rationnelle sera l’économie postindustrielle. Et cela parce que, conformément aux changements des formations socio-économiques, l’objection du vieux, par le nouveau système, sera plus franche.
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Зміст
Tout au début de cette série d’articles, dans l’enquête Société post-industrielle ou Quel État nous construisons, nous avons formulé les trois principes fondamentaux du changement de formations : 1) opposition, 2) « objection de l’objecté », 3) intégrité.
Nous nous sommes persuadé de leur efficience en révélant les caractéristiques de la société postindustrielle, TOUS les éléments de laquelle se développent sous nos yeux :
Voici venu le temps d’explorer ce que sera l’économie postindustrielle. Pour discerner ses idées systémiques formatrices, utilisons une méthode vérifiée : Si tu veux voir ce qu’il y aura « demain », regarde ce qu’il y eut « avant-hier ».
Cyclicité socio-économique
À L’ÉPOQUE PRÉINDUSTRIELLE - à commencer par l’ère trypillienne[1] -, l’activité économique était libre, son exercice ne requerrait aucune autorisation. Comment cela était-il possible ?
D’abord, l’activité des affaires était honnête, parce que les tentatives de falsification étaient vite révélées et liquidées avec leurs auteurs. On fabriquait uniquement ce qui présentait une nécessité pratique.
Deuxièmement, tous les accords entre sujets d’activités économiques s’appliquaient avec responsabilité. En cas de non application, ils finissaient dans des fosses de dettes.
Troisièmement, l’activité économique ne pouvait, en aucun cas, contrecarrer les intérêts sociaux.
Les États étaient intéressés par le développement de la production et du commerce, c’est pourquoi ils ne s’immisçaient presque pas dans les processus économiques. En revanche, ils assuraient la protection des voies commerciales, détruisaient brigands et pirates, créaient une justice équitable. Pour les services rendus, l’État percevait une rétribution sous forme de droit commercial.
Le système des impôts était d’une simplicité maximale. Dans la Rome antique en temps de paix, les impôts n’existaient pas du tout. Les dépenses pour l’administration de la ville étaient minimales, puisque les magistrats élus exerçaient leurs fonctions gratuitement – cet office étant considéré comme très honorable.
Le théologien italien Thomas d’Aquin (13ème s.) considérait les impôts comme l’un des moyens de piller le peuple.
Sous le Premier Hetmanat[2], les membres de la Cosaquerie étaient entièrement libérés des impôts. Seuls les citadins et les paysans payaient un impôt pour entretenir l’armée, ainsi qu’un impôt sur les revenus industriels.
L’INDUSTRIEL A TOTALEMENT OBJECTÉ CET ÉTAT DES CHOSES. La bureaucratie étatique contrôlait toujours plus l’activité économique, et les grandes corporations firent de cette bureaucratie leur appendice. Comment cela s’est-il produit ? Référons-nous aux points énumérés ci-dessus, selon lesquels on peut évaluer n’importe quelle économie.
Premièrement, une production massive mène inévitablement à celle de marchandises superflues, inutiles ou dangereuses. Et pour les vendre, on applique un mensonge à grande échelle auquel on associe une armée colossale d’agents de publicité et de commerciaux. Les uns fabriquent le superflu, les autres l’écoulent.
Deuxièmement, comme au nom du confort l’injustice et le mensonge se sont généralisés, ce sont les lâches et les effrontés qui détiennent l’avantage dans les relations économiques. Pour amortir les risques de non-exécution des accords, on associe une puissante armée de procureurs, de juges, d’avocats, de services policiers spéciaux, de structures de protection privées, d’assureurs. Les grandes corporations et monopoles collaborent avec la bureaucratie étatique pour détruire cette base du libre entreprenariat et du progrès économique que sont les petites et moyennes entreprises.
Troisièmement, cette union corrompue de corporations et de bureaucrates agit à l’encontre des intérêts sociaux, et travaille à la destruction des États. Les multinationales cassent les frontières étatiques car elles ont besoin d’une libre circulation des produits, du capital et de la main-d’œuvre. Elles utilisent la migration non seulement comme force de travail bon marché, mais aussi comme moyen d’affaiblir la société civile, dont la base est la classe moyenne.
L’Ukraine – maillon le plus faible de la formation industriellе
L'apothéose de la corruption, de l'absurdité, et du parasitisme est le système économique de l’Ukraine actuelle. La forme du gouvernement étatique y est la dictature oligarchique. Le niveau de la corruption y est le plus élevé d’Europe, et l’un des plus élevés au monde. Le niveau de la pauvreté – le plus élevé d’Europe. Depuis 2011 (après l’adoption du Code des impôts) sont en vigueur, en Ukraine, 135 prélèvements (impôts, taxes, redevances etc.), ce qui est le pire indicateur dans le monde. Le système d’imposition est instable et ambigu, et afin que le parasitisme soit plus efficace, les formulaires de la déclaration des impôts changent tous les ans.
Cela détourne l'attention des forces créatrices des entreprises ukrainiennes, et exige l’implication de tout une armée additionnelle d’employés – comptables, économistes, audits, « juristes de l’impôt » et « avocats de l’impôt ». Selon certains calculs, les entrepreneurs ukrainiens perdent en moyenne, pour déclarer ces impôts, 657 heures par an (82 jours ouvrés) – trois mois d’occupation stupide et absurde. De plus, le paiement intégral des impôts ne protège nullement du racket de la part de l’État.
Tout le système parasitique s’est profondément ancré dans les consciences des entrepreneurs ukrainiens et de leurs partenaires étrangers, et n’induit rien d’autre qu’aversion et haine. Il en découle qu’avec le passage à l’économie postindustrielle, cet actuel « nid de vipères » corrompu sera totalement démoli et remplacé par son contraire – quelque chose d’extraordinairement simple, compréhensible, rationnel. Les citoyens de l’État postindustriel seront complètement libres de tout impôt, comme l’étaient les Cosaques dans l’État de Bohdan Khmelnytskyi.
Tout d'abord, l'économie postindustrelle efface la différence entre le citoyen ordinaire et l’entrepreneur. Chaque citoyen est à priori un entrepreneur, et un groupe de citoyens – une compagnie entrepreneuriale. Sans aucun enregistrement auprès de l’État. Ceci est lié au fait que, dans la société postindustrielle, avec sa production individualisée, la différence entre l’entreprise et l’échange privé de produits s’efface. En conséquence, les règles d’une entreprise honnête deviennent des lois universelles pour chaque citoyen. Quelles sont ces règles ? Nous les connaissons déjà par l’analyse de l’économie préindustrielle. Formulons-les.
Grande trinité économique
Honneteté: toute information propagée sur les sujets économiques (individuels ou collectifs), leurs produits et leurs services doit obligatoirement être honnête, sans manipulations ni sous-entendus.
Responsabilité: tous les contrats commerciaux (écrits ou oraux) doivent s’appliquer avec exactitude.
Intérêt public: aucune activité ne peut contredire l’intérêt public – ce Vecteur du développement de la société. Ses critères (indice du bonheur général, de l’aisance, de l’éducation, de la santé, de la natalité) sont clairement inscrits dans la Constitution (Grande Charte des libertés, Déclaration des droits).
Si l’activité économique est conforme à ces trois règles, elle ne requiert aucune autorisation ni enregistrement.
L’État garantit à la société le respect honnête et exact de ces « règles du jeu », et assure aussi le droit à certains services payants de base, par exemple:
Libre auto-enregistrement, cote objective, justice équitable
Libre auto-enregistrement dans une base de données nationale unique, où chaque entrepreneur (sujet d’une activité individuelle ou collective), selon son profil, peut annoncer son existence et ses services.
Cote objective dans cette base de données. La cote se fait à partir de l’évaluation (échos) des consommateurs et partenaires, des certificats de qualité accordés par les centres de certification publics ou privés, des agences de cotation, des experts indépendants etc.
Justice équitable. N’importe quel sujet de l’activité économique a le droit d’entamer une action en justice contre tout autre sujet qui a violé ne serait-ce qu’une règle de la Grande trinité économique mentionnée ci-dessus, et d’obtenir une décision de justice équitable avec force exécutoire. Les frais de justice sont à la charge de la partie perdante du procès. Le système des juges se forme par les citoyens de bas en haut, c’est-à-dire que la société choisit elle-même ceux en qui elle a confiance dans l’exécution des services judiciaires.
Adieu impôts, on ne paiera que les services rendus !
Avec le passage à la société postindustrielle, le vieux système obligatoire d’imposition se transforme en son contraire – en système de l’usage volontaire, par les entrepreneurs, des services payants qui favorisent leur activité.
1.Paiement pour utilisation de la devise de l’État
Si les sujets utilisent le système de l’Etat des règlements hors caisse, un honoraire fixe (par exemple, de 1%), est automatiquement prélevé sur chaque transaction financière.
Le paiement sur les perceptions en caisse revient aux vendeurs. Le montant maximal de ces perceptions est fixé par la Constitution. Pour éviter la monopolisation (qui freine toujours le développement) et encourager l’émulation, il peut avoir, dans l’Etat, plusieurs devises et systèmes de règlement.
2.Compensation des effets négatifs sur la santé des gens, sur la nature et la techno-sphère
SANTÉ
Il y a des produits soumis à la demande, mais qui portent atteinte à la santé, ce qui doit être clairement mentionné dans la description de ces produits (alcool, tabac, « chimie » et autres). La compensation réside dans le fait que les acheteurs de ces produits nocifs paient, en plus, une compensation fixe obligatoire, destinée au fonds local, ou national, pour l’amélioration de la santé. Ainsi, ceux qui détruisent leur santé, ou celle de leurs descendants, soutiennent en même temps le développement et la reproduction des personnes qui prennent soin de leur santé. Par cette approche, la vente de produits même nocifs contribue, dans l’ensemble, aux intérêts de la société.
C’est le vendeur qui détermine, « à l’œil », le prix initial de la compensation sur la base de l’expertise qu’il aura commandée, ou bien sur la base publique de précédents judiciaires. Tout sujet de l’activité économique (citoyen ou entreprise) peut le contester devant les tribunaux. Le jury peut commander une expertise indépendante, et préciser l’augmentation/la diminution de ce prix minimal de la taxe de compensation.
Pour compenser les effets négatifs sur l’environnement, notamment dans le cas de l’exploitation d’une parcelle, dont la superficie dépasse le seuil minimum gratuit défini par la Constitution, une contribution ciblée est versée au fonds écologique local. Ainsi, la charge négative effectuée sur l’environnement œuvre, dans l’ensemble, pour les intérêts sociaux. Si tu disperses tes déchets, paie celui qui les ramasse. Ajoutons que les approches postindustrielles préfèrent les mini-fabriques et les mini-fermes.
LA TECHNO-SPHÈRE
Pour compenser les effets négatifs sur l’infrastructure technique, une contribution est versée au fonds local correspondant (par exemple, pour le développement des routes). Pour compenser les effets négatifs sur le développement du progrès technique (disons en raison de la vente d’un équipement obsolète énergivore), une contribution est versée au fonds local, ou au fonds national des innovations.
3.Services pour vérification de la conformité aux spécifications indiquées de la production importée
Achetant une production importée, l’entrepreneur déclare la description des paramètres qui garantissent que cette production n’est pas contraire aux intérêts de la société. Les services de la douane offrent des services payants pour l’identification de la production importée et pour la vérification de sa conformité aux paramètres indiqués.
Conclusion
1.L’économie postindustrielle est libre, c’est-à-dire sans impôts, dé-monopolisée et débureaucratisée. Ce qui n’est pas interdit est autorisé.
2.Si l’entrepreneur ne nuit pas à la santé des gens, à celle la techno-sphère ou à l’écologie, il agit sans aucune limite.
3.Si l’activité économique provoque des pertes pour la santé publique, l’écologie ou la techno-sphère, alors l’entrepreneur les compense par ses contributions aux fonds local ou national.
4.La monopolisation n’est pas admise. Pour encourager le progrès, se créent des systèmes concurrents à celui de la compagnie.
5.Les critères d’intérêt public sont clairement fixés dans la Constitution – loi fondamentale de l’État.
6.Le système judiciaire est formé par les citoyens, de bas en haut.
[1] Trypillia : la riche civilisation trypillienne apparut vers 5000 ans avant Jésus-Christ aux environs de l’actuelle capitale ukrainienne Kyīw (ndt).
[2] Hetmanat : régime de l’État ukrainien dirigé par un Hetman (commandant élu par les Cosaques ukrainiens dès le XVIème s.) - ndt.
(traduction de l’ukrainien : Zirka Witochynska)
Lire aussi :
Société postindustrielle ou Quel État nous construisons
État postindustriel de communautés et ses ennemis
Système de santé postindustriel
La sécurité sociale dans la société postindustrielle
https://www.ar25.org/fr/article/alimentation-de-la-societe-postindustrielle-plus-de-naturel-moins-dartificiel.html
Alimentation de la société postindustrielle : plus de naturel, moins d’artificiel
Il existe nombre d'explorations économiques dans le monde. Celle-ci me paraît fondamentale et sûre.
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